A bloody bully
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Sex,drug & murder.
Bienvenue sur mon échiquier, je me ferai un plaisir de jouer avec tout ceux de plus de 14 ans, mais je déconseille à ceux de moins de 16 ans de venir me rejoindre dans la partie...~ Le Maître du Jeu.
 
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 ✘ The Death ↔ Exemple'

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AuteurMessage
Ray Dawson
Echéphile Lapin

Ray Dawson

Messages : 28
Localisation : In my workshop.
Emploi/loisirs : Tu vomirais ♥
Amour : Je suis pris dans un ménage à trois : le diable, la mort et moi.

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MessageSujet: ✘ The Death ↔ Exemple' ✘ The Death ↔ Exemple' Icon_minitime1Ven 18 Mai - 15:38




QUI ES-TU ?
Azraël Thanatos




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Surnom Un surnom... ? Croyez-vous que la mort ait le temps pour ce genre d'ânerie ? Enfin, il existe des millions de terme pour désigner la mort.
Age Dans les 400 ans environ. Mais depuis qu'il a 260 ans, il compte même plus les années.
Lieu de Naissance Le jour de la Toussaint, dans ce que l'on peut appeler l'enfer.




Mirror, mirror ...



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Clac Clac...

Vous entendez ces pas ? Cette résonnance qui vous effraie, ce son qui sonne si meurtrier aux oreilles. Caché derrière une immonde poubelle au détritus pourrissant, vous ne pouvez que restez béa à la vue de la mort. Une marche plutôt légère et sûre laisse un étrange cliquetis. Une sureté qui vous effraie, confortant la pensée qui vous traverse. Êtes-vous bien celui qu'elle traque ? Hélas pour vous, vous êtes le mort avancé. Et comme un lapin prit dans des phares, tremblotant et pétrifié, vous n'arrivez même pas à vous relever pour croiser ses yeux. Son aura menaçante et repoussante, a une pointe de mystère qui lui, vous attire comme une sorte d'aimant de curiosité. Pauvre de vous, vous êtes voué à mourir.

Et là, dans l'ombre des lampadaires un visage à la pâleur d'une poupée de porcelaine vous ait apparu. Ce visage si fin et qui pourtant n'a fait que vous laissez éclater en sanglot. Bruyant et suppliant, la mort se montre clémente et vous laisse l'admirer un instant. Une prestance digne des grands émane de cet être assassin. Peut-être est-ce sa longue cape qui lui descend en cascade le long du corps ? Ou son aura emplit d'un mystère cruel et noir. Comment ne pas être quelque peu inquiet face à ses traits de visage ? Si sérieux, tellement impassible et pourtant si fin. Comment ne pourrait-on pas ternir à la vue de cette longue faux ? Être aussi pâle que lui. C'est vrai que son visage est aussi blanc que la neige. Cependant, comme vous le remarquez, aucune imperfection ne vient le tâché, peut-être uniquement les traits noirs en dessous de ses yeux.

Des yeux qui pourraient faire frémir un petit garçon de bas âge. Si... rouge ? Rouge comme un rubis et aussi perçant qu'une lame. Comme une illusion parfaite entre le sang et la clarté de la pierre vermeil. Cependant, ses yeux sont certes profonds, mais ils semblent être aussi vide qu'un trou noir. Rien, aucune émotion, aucune humanité. Des cils assez court, ce qui n'offre même pas un air féminin à la mort. Vous êtes toujours blottit contre l'horrible objet métallique avant de vous arrêter sur d'autres détails.

Son nez par exemple, malgré sa capuche, vous voyez parfaitement tous les détails. Un petit nez légèrement retroussé qui est presque "mignon". Un terme qui pourtant n'est pas approprié pour la mort. Des joues qui, elles, ne prennent jamais des couleurs et qui reste bien cachée avec le reste de sa peau. Plutôt maigre, vous pensez que peut-être que mange-t-il pas beaucoup ? Ca pourrait expliquer pourquoi cet homme vous semble si mince. Car il n'y a pas à dire, il n'est pas anorexique. Même vos yeux peuvent facilement s'en rendre compte.

La capuche de la mort se tapit gentiment en arrière, vous laissant admirez le chevelure corbeau de l'homme. Des fines mèches de soie extraites des plumes d'un rapace de mauvais augure. Une texture douce est qui pourtant semble tout de même se rebeller au passage de sa main. La mort n'est certes pas laide et même plutôt agréable à regarder, cependant, elle est effrayante et vous ne pouvez point utiliser ce terme étrange qu'est le mot : "sexy".

Malgré sa certaine hauteur, il n'est pas immensément grand. Vous l'avez remarqué grâce au poteau métallique qui sert de lampe, comme un chandelier planter au milieu de la scène. Le seul souci, c'est que comme la plupart des parties de son corps sont cachées sous le manteau noir, vous pouvez uniquement faire travailler votre imagination. De longues jambes plutôt fines sont venues à votre esprit et heureusement pour vous, il s'avère qu'elles sont presque pareils. Des mains fines et habiles, faisant sans problème rouler la lame de côté pour vous trancher doucement la gorge. Traitresses et vicieuse, elles restent bien cachées à vos yeux. Quand à ses bras fin, on peut y remarquer une pointe de musculature dans leur minceur. Non, l'être mortel n'a pas des bras énorme et emplit de vigueur.

Un habillement plutôt sobre semble permettre à la faucheuse de rester bien discrète à la vue des gens. Brave mort, elle est venue vous trouver. Piégé, vous vous êtes fait prendre comme un poisson dans un filet. Pourquoi vous laissez plus de temps à vivre ? Bonne question... et cette voix si froide. Claire et pourtant si givrée, elle vient de s'étaler dans l'air. Et comme le glas, elle a sonné votre fin. Dans un coup de faux bien placé, vous n'avez rien senti. Seul, vous vous êtes rendus compte de votre mort. La tête roulant sur le sol, vous avez fait connaissance avec l'ange de la mort qu'après avoir comprit que vous ne faîte plus partie des mortels.


But who are you ?



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Discret froid : Tu es froid, si froid que la neige seule t'égale. Tu es sans aucun doute un vrai glaçon. Tu ne parles qu'au corps qui s'apprête à rendre l'âme pour te la confier. C'est vrai, tu pourrais passer des heures et des heures à parler aux esprits que tu prends avec toi. Comme si celles-ci étaient des gens que tu as toujours connus. Caché dans l'ombre tu n'aimes pas qu'on te remarque. Invisible, tu guettes sans relâche la quelconque âme à prendre. Heureusement pour toi, tu n'as souvent pas à leur montrer que tu es la barrière qui mettra terme à leur chemin chez les mortels. Au contraire, tu préfères te montrer comme un être normal pour ensuite les écarter de la foule et leur donner la mort. Exactement comme un berger et ses moutons.

IntelligentPrudent : Tu es intelligent et c'est une chance. Jamais, ô grand jamais tu partiras pour une bataille sans avoir un minimum réfléchit. Que cela soit même la plus infime réflexion, tu ne partiras point au combat. Surtout que ta prudence est signe d'une certaine "sagesse" de ta part. Tu n'es pas le fou qui servira sa nation au premier rang d'une guerre. Non, tu restes en retrait, attendant que le tout se calme pour enfin ressortir et vaincre. Ce n'est pas de la lâcheté, mais du réfléchit. C'est à ce cerveau que tu dois nombreux de tes pièges que tu as toi-même créés, fait les plans. Des petites oeuvres d'arts auxquels tu prends soin. Pourquoi ne pas les soigner ? Eux-mêmes fait de tes doigts, tu ressens de la fierté à voir les morts servir de mannequin à tes nombreux tests.

CruelSadique : Tu es d'un sadisme extrême lorsque la folie qui se cache dans ton ventre refait surface. Oui, la douceur n'a guère de sens à tes yeux vermeils. L'empathie n'est, non plus, point admise dans ton coeur noirâtre. C'est vrai, tu es un horrible personnage lorsqu'on aperçoit cette face complètement détraquée de ta personne. Pourtant, toi-même tu la redoutes et la craint. C'est vrai, sentir tes pupilles devenir mince et ton sourire psychotique venir s'allonger sur tes lèvres te rendent malade. Laisser une étrange euphorie te gagner est le pire des moyens pour te fatiguer. Tu ne supportes pas cette perte de contrôle qui te rend vite inconscient. Pourquoi a-t-il fallu que la démence vienne se loger dans ton coeur. Toi, la mort, tu n'avais pas besoin de ressentir du plaisir à les voir dépérir plus longtemps. Malheureux sont les gens qui t'apercevront lorsque ton esprit fou laissera libre court à son imagination.

InsensibleImpassible : Tu sais très bien déstabiliser les gens avec ce visage imperturbable et complètement dépourvu d'émotion. C'est comme si tu dressais une barrière entre tes resentis et tes expressions faciales. Rien ne s'affiche quand tu n'en as pas l'envie. Il en faudrait énormément pour que tu verses une quelconque larme. C'est d'ailleurs ,une des choses, qui est hors de ta portée. Pleurer... même t'arracher une main ne peut pas te faire larmoyer. Toi même tu ne le sais pas, et pourtant, il s'avère que tes glandes lacrymales sont brûlées, tu ne peux donc plus laisser une petite goûte rouler le long de ta joue. Ce n'est pas plus mal et cela va de pair avec ta froideur et ton laconisme naturel. Mais, même si ton coeur gelé ne ressent que difficilement les choses, tu n'es pourtant pas dépourvu d'émotion, tu es juste incapable de les exprimer.

ÉgoïsteIndépandant : Tu ne demandes rien à personne et que personne ne te demande rien. C'est comme ça, tu penses d'abord à ta petite personne plutôt que d'aider l'autre homme qui se noie devant tes yeux dans de grands hoquets de panique. Tu serais même capable de lui faire un signe d'adieu que de te lever et de lui tendre la main pour le sauver. C'est vrai, tu es la mort, c'est donc normal. Mais, en même temps, si cette personne ne doit pas mourir, tu devrais, pour une fois, commettre une bonne action et l'aider. Mais bien sûr que non, tu n'as pas à jouer les bon-samaritains et c'est tant pis pour ce mortel, il n'avait qu'à faire attention. Voilà comment tu vois la chose, pour toi ce ne sont jamais tes soucis. Si sa mort est proche et bien c'est son destin. Il n'avait qu'à pas se laisser distraire.

HypocriteFourbe : Et oui, tu n'es pas la personne la plus franche que l'on puisse trouver. Sous tes airs toujours indifférents, tu es en ton intrinsèque un profond hypocrite. Tu gardes le silence et c'est dans cette aura de fourberie que tu manipules tes petits agneaux pour les mener directement à la morgue. Et de stratagème en stratagème, tu as manipulé la plupart de tes victimes. Comme des marionnettes et leur maître, tu les as guidées comme une ombre jusqu'à la mort qui n'est autre que toi, mais ça tu le sais bien.

PersévérantTêtu : Lorsque tu veux quelque chose, quel que soit le prix, tu l'obtiens. C'est comme ça que tu l'entends et rien ne peut te contredire. Quand tu as une idée fixe dans la tête, elle ne s'éloigne pas et elle reste encrée comme un pieu dans la terre. De plus, tu es toujours sûr que tu possèdes la raison. C'est vrai, rien n'est de taille à te contredire. Tu es un tantinet orgueilleux, ce qui ne faut surtout pas te montrer. Non, ceci pourrait te froisser et de plus, tu contredirais rapidement cet infâme mensonge. Personne n'a le droit de commettre un tel outrage sur ta personne.


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Story of the Grim Reaper



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Tout d'abord, tu te souvenais être né un soir de Toussaint. Une étrange coïncidence, qui pour toi, est simplement une oeuvre du destin. Une mise au monde normale faite par une diablesse aux longs cheveux de jais et aux yeux rouges sangs. Des pupilles dont tu as hérité la couleur. Malheureusement pour toi, tu es contraint de vivre avec la fin. Car ton père est un croque mort, quelqu'un qui avait pour habitude de ramener les coffres mortuaires dans le garage. Mais, depuis le début de toute chose, votre famille a élevé des psychopompes. De brave bête qui deviendront tes subalternes sans même que tu t'en rendes compte. Pour toi, vivre avec les morts était si banale et normale, tu en oubliais presque que toi-même tu ne faisais pas partie de leur monde. Tu peux encore te souvenir avoir joué des jours entiers au ballon dans le cimetière.

Mais, petit garçon que tu étais, tu commençais à te sentir seul. Malgré que tes camarades étaient de petits diablotins, tu te faisais sans cesse rejeté. Trop riche, trop précieux, ils ne voulaient pas jouer avec une sorte de mort-vivant. Malheureux, tu étais dans une école de démon bourgeois. C'est pourquoi, dans un geste de bonté, ton père t'a offert un chien. Un futur psychopompe noir charbon aux yeux rubis. Un très bon ami qui se conduisait comme un démon, toi et lui étaient si proche que tu passais ton temps à jouer avec ce canidé. Il semblait t'apprécier à ta juste valeur.

Pourtant, tu restais toujours le petit diable de ta mère. Celle-ci, fière que tu aies pris la majorité de tes traits physiques d'elle, te vénérait comme un petit dieu. Tu étais encore ignorant à cette époque, et pour toi la mort n'était qu'une simple conséquence à un problème corporel. Tes yeux ne te donnaient pas encore l'occasion de la comprendre. Pourtant, un jour lorsque tu marchais dans les plaines ravagées par un incendie, tu as perdu ton chien bien-aimé. Celui-ci ne t'avais pas écouté et il est parti trop loin. Et acculé dans les flammes, il s'était fait brûler comme pour une incinération. Couinant, agonisant, tu avais pu voir la mort de si près, que tu en étais hébété. Pauvre de toi, tu pleurais comme une fontaine. Forcé de rentrer à la maison seul, tu avais expliqué le tout à tes parents, qui suite à un certain moment de réflexion, une fois que les flammes aient disparu, sont sortis avec toi. Tu as trouvé un étrange rubis noir au milieu des cendres de ton chien. Tu ne pleurais pas cette fois, car étrangement, tu le sentais toujours près de toi. Tu sentais presque son museau se coller contre ta main. Et dans un petit regard, tu as remarqué alors l'étrange chose qui restait au-dessus de la tête des adultes. Mais ce détail, tu l'as gardé secret. Trop ignorant pour t'en rendre compte, tu n'avais aucune idée de ce que tu venais de découvrir. Tu étais la mort, certes, jeune, mais la mort.

Au cours des années qui ont suivie, tu t'es renfermé sur toi-même. Des ombres venaient te trouver le soir, dans ton lit. Perdu et complètement impuissant, tu ne savais pas quoi penser. Quand certaines étaient silencieuse, d'autres chuchotaient, chantaient, riaient et certaines pleuraient. Comment pouvait-on t'ouvrir les yeux ? Tu étais voué à être l'ombre mortuaire sur le chemin des mortels. Tu t'en es rendu compte le jour où tes yeux ce sont plongés dans le rubis. Une sorte de vision, tel le médium et ses rêves. Tu avais vu la mort, des âmes. Et comme un besoin irrépressible, tu t'es jeté sur un livre de sorcellerie. Car ton père en possédait un. Celui-ci étant un grand adepte de la magie noire, tu as récité une incantation latine. Toi, la mort, tu venais de sentir le cercueil tressaillir sous ta voix. La peur au ventre, tu ne t'es pas pour autant dégonflé. Malgré ton jeune âge, tu n'as pas démordu à laisser l'âme venir se dresser devant toi. Tu en étais béa. Presque inconsciemment, tu as tendu la main vers elle, celle-ci quelque peu chevrotante. Les yeux droits, tu ne la lâchais plus du regard. Et c'est à ce moment-là, que tu as vu ton père entré dans son sanctuaire. La bouche grande ouverte, il en as fait tomber son marteau. Toi, son fils, tu venais d'accomplir ce que lui essayait depuis de longue année et toi, dès ton premier essai. Mais, loin de douter de ce que tu allais faire, tu as sorti ton rubis, le serrant d'une main. Tu l'a doucement approché de l'âme qui a eu un mouvement de recule. Et dans un sursaut de ta part, elle fut aspirée dans la pierre. Jamais tu ne te serais douté d'un tel pouvoir. Surtout que tu croyais encore que c'était uniquement grâce à ce joyau. Tu te trompais, cela venait de toi, tu es la mort. Petit être insouciant, tu n'avais jamais pensé. Jamais tu t'imaginais avoir un tel degré d'utilité sur l'enfer. Mais bientôt, tu allais le découvrir.

Enfin, pour le moment, tu allais plutôt t'attirer des ennuis. Tu grandissais et bientôt, tu étais un jeune démon. Têtu, tu voulais absolument savoir d'où tu arrivais à faire ce genre de choses avec cette pierre. Car ton père avait beau avoir essayé mainte et mainte fois, rien. Même pas une seule petite âme qui se montrait. Était-il simplement peu douer ? Peut-être était-ce le contraire, tu avais simplement un don ? Mais, tu t'apprêtais à commettre une bêtise. Ton premier meurtre. Tu voulais voir si tu pouvais faire sortir l'âme sans la pierre. Être sûr que c'était bien toi et non pas ce rubis. Cela tombait bien pour toi, toute la famille allait rendre visite à un ministre démoniaque. Un horrible pervers qui avait marié une jeune diablesse qui avait donné un fils, un garçon qui avait à peu près ton âge. Tu savais que tu n'allais de toute façon pas l'apprécier, tu haïssais les bourgeois. Quoi de plus compréhensible, depuis tout le temps où ils t'ont rejeté. Et c'est avec un sourire que vous êtes parti pour le manoir. Ton père le connaissait bien, car cet homme lui avait demandé ses services lors de la mort d'un proche. Tu ne te souviens plus de quel lien. Sa mère, ou son père peut-être ? De toute façon, tu n'y prêtais aucune intention. Arriver devant le manoir, tu gardais ton sac à dos bien en main. L'hésitation ne venait même pas chatouiller ton ventre, comme si ce que tu t'apprêtais à faire était normal. Dans ce manoir où vous étiez venu pour manger, tu n'as même pas pris une morce. Peut-être le dégoût de manger dans l'assiette des riches ? En tout cas, tu étais resté stoïque à la nourriture et une fois que ton "ami" as voulu t'emmener dans sa chambre, tu l'as suivi avec un sourire sombre et malade.

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Rien ne pouvait t'arrêter maintenant, assis sur son lit. Il avait une chambre immense, peut-être 2x plus grande que la tienne. Et aussi étonnant que cela peut paraître, cet imbécile s'est lui-même enfermé dans la pièce. Voulait-il te faciliter la tâche ? Tu ignorais la raison pour laquelle il a fait cette erreur. Tu as ouvert ton sac et y as plongé ta main. Quant à lui, il s'est rapproché et t'observais en penchant la tête. Tu ne lui as pas laissé le temps de répliquer, que la lame s'est déjà plantée dans son poitrail. Tu avais un léger ricanement, malsain et hautain. Le voir agoniser te plaisais, le voir pleurer te serrait les tripes de joie. C'est vrai, le visage imprégné par la peur te faisait sourire et en penchant la tête, tu agitais doucement la lame dans son corps, le regardant craché du sang. Ses yeux devenaient vitreux et toi tu récitais doucement tes phrases latines et grecques. ? Étrangement, l'âme ne venait que très difficilement. Et dans un grand sursaut, tu as entendu des voix déchirer le fond de la pièce. Des voix rauques et bien distinctes. La seule chose qui t'a échappé, était le fait que ta victime n'ait pas l'air de les voir. Tu t'es figé quand tu as vu les monstres qui se tenaient courbé devant toi. Ces créatures étaient nettement plus grande, peut-être faisaient-elle deux mètres ? « Tu crois qu'il nous voit ? » c'était un des monstres qui venaient de prendre la parole. Un frisson parcouru ton échine, hochant légèrement la tête, tu avais voulu savoir quelle sorte de monstres étaient-ils. Et leur réponse n'a fait que te rendre béa. Des shinigamis ? Comment était-ce possible ? D'habitude, ils ne sont visibles que pour les morts, n'est-ce pas ? Alors, est-ce que toi, tu étais mort ? Non, mais d'après ce qu'a murmuré les monstres, les prédictions s'avéraient juste. Il y avait un petit démon qui était promu au poste de mort. Dans un rire cynique, ils s'amusaient à tourner autour du "nain". Voilà le surnom qu'ils t'avaient donné. Dans un soupire tu leur as demandé avec un air assez inquiet, s'ils ne se trompaient pas. « Non, non. Tu es la mort et nous nous sommes tes professeurs ».

Tu as été si surpris, que tu te demandais si ce n'était pas un rêve. Alors, pour essayer quelque chose de nouveau, tu t'es retourné, tu t'es servis de tes deux mains et sans aucun scrupule, tu as arraché les yeux au garçon qui suffoquait toujours, se vidant de son sang. Et avec quelque coup de langue, tu lapais la rétine, s'asseyant à ses côtés. La folie t'a gagné et tu n'as pas su la maîtrisé. Mais qu'a été ta surprise lorsque tu n'as pas vu les shinagamis. Disparu,évaporé... perdu dans tes pensées, tu as tout de même pris la peine de couper la gorge à ce bourgeois hautain. Mais, isolé, tu avais seulement remarqué après 10 minutes, les grognements et les poings qui prenaient vie derrière la porte. C'était tes parents et les deux bourgeois. Ils semblaient s'inquiéter de n'avoir vu aucun signe de vie de leurs deux fils. Enfin, il y en a un, qui de toute façon n'en aurait pas donné. Mort sur son lit, tu te sentais comme un roi à regarder son corps.

Enfin, tu t'en es douté, la porte a fini par céder et tu t'es retrouvé à découvert. Ils étaient là, devant toi, à te regarder lécher un des yeux bleus du garçon. Tétanisé, le silence a vite pris place, tu te souviens encore du bruit des lapements de langue que tu émettais. Mais le calme a vite été arrêté, quand hurlant et menaçant, le bourgeois c'était rapproché de toi. Tu étais agile et futé. Pendant que ta mère versait des larmes et que ton père la réconfortait, tu as fuit comme un voleur par la fenêtre que tu as laissée ouverte. Heureusement pour toi, le destin semblait te sourire vu que sa chambre n'était qu'au premier. Tu as donc fuit, loin de tout. Tu savais que les démons te rattraperont et te puniront pour avoir tué le fils d'un ministre. Malin et fourbe est la mort. Avec tout ça, tu n'as même pas prit l'âme de ce bourgeois. Et c'est d'ailleurs à ce moment-là que tu as réalisé que ton rubis était toujours dans ton ancienne demeure. Non, tu n'allais plus y retourner. Errance et solitude allaient maintenant être tes seules alliées. Cependant, tu avais besoin de cette pierre, tu ne pouvais y couper. Sans elle, est-ce que la mort allait pouvoir faire son travail ? Et que va devenir l'âme du défunt que tu avais recueillie? Rien, comme toi, elle allait errer dans les profondeurs du noire de la pierre. Seule, abandonnée, elle n'avait nulle échappatoire à la prison. Elle était piégée et ce jusqu'à que tu aies décidé de la relâcher. Mais là n'était pas ton idée, tu t'avançais pour simplement aller récupérer ta pierre.

Dame blanche t'admirais. Belle est la lune, lorsque son éclat est complet. Tes pas étaient de plus en plus lourd. Tu étais fatigué, et pourtant, tu n'avais pas le choix, il fallait que tu te dépêches si tu ne voulais pas te faire prendre. C'est pour ça que tu as pris un pas de course pour enfin voir un sanctuaire que toi-même tu as créé. Celui où ton bien-aimé compagnon canin avait rendu l'âme. Mais le plus étrange, c'est que ne te souvenais pas d'avoir laissé une faux à cet endroit. C'est alors quand t'approchant pour venir l'inspecter de plus près, tu la vis s'ébranler et te sauter dessus. C'était le cas de le dire, tu as fini le dos contre le sol, cette lame tranchante se frottant contre toi comme un... chien ? Jamais une arme n'avait bougé sans que tu la prennes en main. Tu ne savais pas encore que l'âme du psychopompe était resté piégée à l'intérieur. Cependant, cette faux allait te servir à un tas de choses, déjà à te défendre si tu venais à tomber nez à nez avec tes parents. Tu l'as mis sur ton épaule et tu t'es mis à courir jusqu'à l'ancienne demeure.

Tu savais au plus profond de ton coeur chavirant que tu serais loin d'être le bien venu au sein de ton foyer. Après un tel changement de visage face à tes parents, c'est à coup de crosse qu'il allait t'envoyer hors du nid. Mais tu t'en contre fichais, seul la pierre t'intéressait. Tu étais même prêt à sacrifier leur vie pour ce simple rubis. Oui, tu relevais de l'être hideux et répugnant. Mais ton coeur était remplit de curiosité, plus rien ne comptais plus que de savoir ce que tu allais apporter à ce monde de désolation. Tu as finis pas apercevoir la bâtisse non loin de toi. Après t'être assuré que personne n'était là, tu es rentré à pas de loup. Fermant doucement la porte derrière toi, tu as monté bravement les escaliers pour arriver juste en face de ta chambre. Ton coeur s'est mis à trembler et d'étrange rebond ont pris naissance dans les battements de celui-ci. Récupérant la pierre à toute allure, tu t'es pressé pour ne pas te faire voir. Quelle cavale, tes jambes en prenaient un coup. Tu t'es donc dirigé vers une grotte dans laquelle tu jouais beaucoup avec ton chien.

Tu n'as pas tardé à y parvenir, et t'asseyant sur une pierre, tu as vu ta faux se redresser et trottiner autour de toi. Elle semblait presque heureuse et venait se frotter de son côté non tranchant à ta jambe. Comment cette objet pouvait arriver à faire ceci ? Et pourquoi était-il si familier avec toi ? Tu te posais vraiment des questions et gentiment, tu te perdais de plus en plus dans tes découverte. Tout ça était si étrange que tu en restais bouche béa. Et voici que devant tes yeux, dans l'obscurité de la grotte, tu as vu les deux même ombres se raprocher de toi. Des ombres que tu pouvais facilement reconnaître par leur prestence. Les shingamis était revenu. Une fois qu'ils sont arrivés à ta hauteur, ils se sont courber pour se présenter. Un ce nommait Izanami et l'autre Yama. Ta tête n'avais fait que basculer d'arrière en avant. Tes proffesseurs n'ont pas discuté trois ans, et peu leur importait comment tu te nommais. Tu as vite été tirer vers la sortie de la grotte par les deux hommes. Tu t'était tout de même agité à leur geste. C'est vrai, tu avais beau être petit comparé leur taille, mais tu n'étais pas un vulgaire pantin. Tu es donc parti avec ces deux monstres en direction de leur sanctuaire, un endroit que tu ne voudrai point qu'on décrive, trop precieux à tes yeux....
C'est donc là-bas que tu as appris ton métier. Celui de la mort. Tu as donc vite appris à utiliser tes dons et les règles que tu devais suivre. Heureusement pour toi, ce n'était pas comme s'il en avait une centaine. Non, juste une. C'est vrai que cette obligation coupe court à ta folie, mais c'est tant mieux. Tu pourrai faire un vrai massacre sans cette obligation, tout serait si simple à éliminer. Ton apprentissage était terminer, et maintenant, tu as un statut bien plus haut que ces shinigamis. Tu était maintenant livré à toi-même, sur la petite planète bleue...




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